Je tourne en rond, les murs comme limite.
Toujours la même obsession: la mort et l’eau-de-vie.
Le vent est violent, il ferme la porte sur l’autre,
Je marque une pause comme une overdose.
Courtes, courtes syllabes,
Les seigneurs ne font pas de vagues.
Coincés du haut de leur estrade,
Ils ne voient pas ce qui se trame au loin.
Comme dégoût, comme un rejet,
Des anges pleins de jeunesse,
Laissent, se laissent partir sans regret, comme une overdose.
Vise un peu le ciel, comme il raisonne
De douceur, d'encens et de miel.
Mais quand tu frappes, il n’y a jamais personne.
Ta coquille te protège,
De trop de sens, de trop de vertige.
T’es de ce nombre, sombre cortège, comme une overdose.
LA PETITE HISTOIRE
Nous vivons dans des mondes parallèles sans contact et pourtant interdépendants.
On peut appeler cela les classes sociales.