Chemises brunes cheminent là,
Et c’est l’oubli, que l’on assume ou pas.
Rampant sur les faiblesses,
S’accrochant aux verrues,
Elle avale, ici ou là,
Des gnomes dangereux ou déçus.
Petit cerveau, mais gros estomac.
Où l’on attend le droit, on ne voit que son cul.
La bête, si proche que je sens son souffle sur moi.
La bête, séduit les négligents, les attire et les broie.
Elle guette (x 3).
L’aiguille fine aiguise le bras,
Et c’est l’oubli, que l’on assume ou pas.
Rampant sur les faiblesses,
S’accrochant aux verrues,
Elle avale, ici ou là,
Des gnomes dangereux ou déçus.
Petit profit, mais pire trépas.
Où l’on attend la joie, on ne voit que son cul.
La bête, si proche que je sens son souffle sur moi.
La bête, séduit les négligents, les attire et les broie.
Elle guette (x 3)... elle guette, la bête.
LA PETITE HISTOIRE
Ne jamais relâcher la vigilance